Le blog de Celine VI
Julie venait de dire au revoir à son petit copain et elle partait rejoindre son groupe de copines en week-end.
Réunions, riche en activités, qu'organisaient régulièrement ses copines.
Il fallut près d'une heure à Julie pour arriver chez Claire, un loft immense et somptueux. Déjà ses deux autres amies étaitent arrivées.
Assise sur un canapé, discutaient Sophie et Laure, 2 amies de fac de Julie.
Sophie était d'une rare beauté, avec son teint mat et ses cheveux bruns. Quand à Laure, brune aussi, elle était plus rondelette, mais disposait d'atouts qui faisaient craquer tous les hommes.
Il manquait juste Cindy, qui serait absente ce week-end.
La soirée du vendredi soir, commença normalement par un petit apéro. Ensuite leur repas fut livré.
Après le dîner, vint le moment que toutes attendaient. Il était l'heure de lancer les dés.
La règle était simple. Chacune, lançait un dé et les filles qui avaient un chiffre pair, prendraient les décisions. Celles qui avaient un chiffre impair, devraient suivre les consignes des autres.
2, 4, 4, et 1, tels étaient respectivement les chiffres obtenus par Sophie, Claire, Laure et Julie.
Les trois amies de Julie la regardèrent, mais ne dirent aucun mot. Claire dit ensuite à l'attention de tout le monde :
"Bon, c'est fait. Continuons notre soirée"
La soirée recommença comme si de rien n'était, mais Julie, qui connaissait bien ce jeu, se demandait ce qui allait lui arriver.
Puis au bout d'une heure, Laure dit à Julie :
"Carresse-toi Julie."
Comme toutes ses amies, elle avait toujours respectée les règles de ce jeu. Aussi, elle se plia à la volonté de Laure.
Julie se redressa sur son fauteuil et fit glisser ses mains sur son corps, s'attardant sur sa poitrine généreuse, puis glissant sur son ventre. Prenant son temps, elle arriva enfin à ses cuisses. Sa main glissa alors naturellement sous sa jupe pour toucher son entrejambes. La sensation était plaisante, mais loin d'être exquise, car elle se sentait idiote. En effet, ses amies ne se préoccupaient pas d'elle. Elle continuaient leur discussion sans la regarder.
Quand ses caresses ralentirent, Sophie dit :
"Nous ne t'avons pas dit de t'arrêter Julie"
Puis Sophie retourna à sa conversation.
Julie continua alors ses caresses, mais cette fois-ci, elle était bien décidée à se donner du plaisir. Ayant remontée sa jupe, les doigts de Julie écartèrent doucement son string pour dévoiler son fruit défendu, puis commença à caresser son clitoris.
Se sentant humide, elle glissa un doigt dans son intimité.
Mais cela lui valut une autre réprimande de la part de Sophie :
"Julie, çà dépasse les caresses. Tu n'as droit à aucune pénétration. Maintenant installe-toi confortablement et profite du spectacle, mais par contre tu n'as plus le droit de te toucher."
Julie qui était déjà bien excitée, voulait continuer ses caresses et aller plus loin. Mais elle devait suivre les règles du jeu.
Et l'état d'excitation dans lequel se trouvait Julie ne risquait pas de redescendre avec le spectacle offert par ses 3 amies qui se touchaient,se carressaient et s'embrassaient.
Les langues se mêlaient maintenant sensuellement et langoureusement entre elles. Les vêtements disparurent petit à petit, offrant progressivement aux yeux de Julie, ces corps exquis. Les seins étaient malaxées par des mains expertes. Les langues venaient s'enfouir dans les nombrils, parcouraient les ventres, les poitrines, les tétons, les nuques... Il semblait qu'aucune partie des corps ne serait épargnée.
Julie sentait son string devenir de plus en plus humide. Cela devenait une véritable torture de résister à ses pulsions ,alors que son regard se perdait dans cet enchevêtrement de corps.
Déjà plus de 10 minutes, que les caresses et léchouilles fusaient. Les corps complètement nus dévoilaient maintenant leurs fentes humides. Des fesses s'écartaient pour laisser une langue faire son travail. Une paire de main venait appuyer une tête blonde entre des cuisses. Des doigts écartèrent une fente révélant la peau roseatre de ce sexe, puis s'insinuèrent dans cet orifice. Les jambes, seins, et l'ensemble des corps étaient caressés par cette multitude de mains.
A la vue de cette scène, s'ajoutaient les gémissements et les bruits de succion, rendant de plus en plus difficile la lutte de Julie pour s'empêcher de les rejoindre ou de se toucher.
Ses 3 copines se faisaient plaisir mais aucune ne s'occupait d'elle.
Claire dit soudainement, à la limite du cri sous l'excitation :
"Julie, va chercher des godes"
Julie s'exécuta espérant pouvoir prendre part à la suite. Elle savait très bien où se trouvaient les jouets de Claire, et revint avec une malette pleine de sex toys.
Elle tendit alors un gode en verre qui fut rapidement saisi par Laure et vint s'enfouir sans ménagement dans le sexe mouillé et dilaté de Claire. Sophie et Laure se consacrant à donner du plaisir à Claire. Sophie embrassait et caressait le haut du corps de son amie blonde pendant que Laure s'occupait de son entrejambes. Vaste travail que Laure accomplissait avec conviction en fourrageant le vagin avec le gode et en léchant le clitoris.
Julie reçut alors l'ordre de donner à Laure les boules anales.
Et après une longue insertion, où Julie avait été réquisitionnée afin de lubrifier de sa salive ce nouveau jouet et l'anus de Claire, les boules vinrent se réfugier dans cet orifice étroit.
La tête reposée sur les cuisses de Sophie qui lui carressait doucement les cheveux, Claire se tordait de plaisir. Les gémissements se firent plus intenses. Laure, n'ayant aucun doute sur l'éminence d'un orgasme, retira d'un coup sec les boules anales. Le visage de Claire fut soudainement déformée par une grimace lorsque son corps et son esprit furent envahis par ce déluge de plaisir. Claire s'abandonna totalement et ne retint pas ses cris de plaisir. Ce qui eut pour effet d'exciter Laure qui accéléra la masturbation du clitoris de Claire et s'acharna avec une nouvelle intensité sur le gode enfouie dans la chair de son amie.
N'en pouvant plus, Claire repoussa Laure et retira le gode. Reprenant son souffle, elle sourit à ses amies.
Julie pendant tout ce temps n'était restée qu'une simple spectatrice et vu que ce n'était que le début de la soirée et du week-end, elle espèrait et désirait qu'une seule chose : passer à l'action.
A suivre...
Réunions, riche en activités, qu'organisaient régulièrement ses copines.
Il fallut près d'une heure à Julie pour arriver chez Claire, un loft immense et somptueux. Déjà ses deux autres amies étaitent arrivées.
Assise sur un canapé, discutaient Sophie et Laure, 2 amies de fac de Julie.
Sophie était d'une rare beauté, avec son teint mat et ses cheveux bruns. Quand à Laure, brune aussi, elle était plus rondelette, mais disposait d'atouts qui faisaient craquer tous les hommes.
Il manquait juste Cindy, qui serait absente ce week-end.
La soirée du vendredi soir, commença normalement par un petit apéro. Ensuite leur repas fut livré.
Après le dîner, vint le moment que toutes attendaient. Il était l'heure de lancer les dés.
La règle était simple. Chacune, lançait un dé et les filles qui avaient un chiffre pair, prendraient les décisions. Celles qui avaient un chiffre impair, devraient suivre les consignes des autres.
2, 4, 4, et 1, tels étaient respectivement les chiffres obtenus par Sophie, Claire, Laure et Julie.
Les trois amies de Julie la regardèrent, mais ne dirent aucun mot. Claire dit ensuite à l'attention de tout le monde :
"Bon, c'est fait. Continuons notre soirée"
La soirée recommença comme si de rien n'était, mais Julie, qui connaissait bien ce jeu, se demandait ce qui allait lui arriver.
Puis au bout d'une heure, Laure dit à Julie :
"Carresse-toi Julie."
Comme toutes ses amies, elle avait toujours respectée les règles de ce jeu. Aussi, elle se plia à la volonté de Laure.
Julie se redressa sur son fauteuil et fit glisser ses mains sur son corps, s'attardant sur sa poitrine généreuse, puis glissant sur son ventre. Prenant son temps, elle arriva enfin à ses cuisses. Sa main glissa alors naturellement sous sa jupe pour toucher son entrejambes. La sensation était plaisante, mais loin d'être exquise, car elle se sentait idiote. En effet, ses amies ne se préoccupaient pas d'elle. Elle continuaient leur discussion sans la regarder.
Quand ses caresses ralentirent, Sophie dit :
"Nous ne t'avons pas dit de t'arrêter Julie"
Puis Sophie retourna à sa conversation.
Julie continua alors ses caresses, mais cette fois-ci, elle était bien décidée à se donner du plaisir. Ayant remontée sa jupe, les doigts de Julie écartèrent doucement son string pour dévoiler son fruit défendu, puis commença à caresser son clitoris.
Se sentant humide, elle glissa un doigt dans son intimité.
Mais cela lui valut une autre réprimande de la part de Sophie :
"Julie, çà dépasse les caresses. Tu n'as droit à aucune pénétration. Maintenant installe-toi confortablement et profite du spectacle, mais par contre tu n'as plus le droit de te toucher."
Julie qui était déjà bien excitée, voulait continuer ses caresses et aller plus loin. Mais elle devait suivre les règles du jeu.
Et l'état d'excitation dans lequel se trouvait Julie ne risquait pas de redescendre avec le spectacle offert par ses 3 amies qui se touchaient,se carressaient et s'embrassaient.
Les langues se mêlaient maintenant sensuellement et langoureusement entre elles. Les vêtements disparurent petit à petit, offrant progressivement aux yeux de Julie, ces corps exquis. Les seins étaient malaxées par des mains expertes. Les langues venaient s'enfouir dans les nombrils, parcouraient les ventres, les poitrines, les tétons, les nuques... Il semblait qu'aucune partie des corps ne serait épargnée.
Julie sentait son string devenir de plus en plus humide. Cela devenait une véritable torture de résister à ses pulsions ,alors que son regard se perdait dans cet enchevêtrement de corps.
Déjà plus de 10 minutes, que les caresses et léchouilles fusaient. Les corps complètement nus dévoilaient maintenant leurs fentes humides. Des fesses s'écartaient pour laisser une langue faire son travail. Une paire de main venait appuyer une tête blonde entre des cuisses. Des doigts écartèrent une fente révélant la peau roseatre de ce sexe, puis s'insinuèrent dans cet orifice. Les jambes, seins, et l'ensemble des corps étaient caressés par cette multitude de mains.
A la vue de cette scène, s'ajoutaient les gémissements et les bruits de succion, rendant de plus en plus difficile la lutte de Julie pour s'empêcher de les rejoindre ou de se toucher.
Ses 3 copines se faisaient plaisir mais aucune ne s'occupait d'elle.
Claire dit soudainement, à la limite du cri sous l'excitation :
"Julie, va chercher des godes"
Julie s'exécuta espérant pouvoir prendre part à la suite. Elle savait très bien où se trouvaient les jouets de Claire, et revint avec une malette pleine de sex toys.
Elle tendit alors un gode en verre qui fut rapidement saisi par Laure et vint s'enfouir sans ménagement dans le sexe mouillé et dilaté de Claire. Sophie et Laure se consacrant à donner du plaisir à Claire. Sophie embrassait et caressait le haut du corps de son amie blonde pendant que Laure s'occupait de son entrejambes. Vaste travail que Laure accomplissait avec conviction en fourrageant le vagin avec le gode et en léchant le clitoris.
Julie reçut alors l'ordre de donner à Laure les boules anales.
Et après une longue insertion, où Julie avait été réquisitionnée afin de lubrifier de sa salive ce nouveau jouet et l'anus de Claire, les boules vinrent se réfugier dans cet orifice étroit.
La tête reposée sur les cuisses de Sophie qui lui carressait doucement les cheveux, Claire se tordait de plaisir. Les gémissements se firent plus intenses. Laure, n'ayant aucun doute sur l'éminence d'un orgasme, retira d'un coup sec les boules anales. Le visage de Claire fut soudainement déformée par une grimace lorsque son corps et son esprit furent envahis par ce déluge de plaisir. Claire s'abandonna totalement et ne retint pas ses cris de plaisir. Ce qui eut pour effet d'exciter Laure qui accéléra la masturbation du clitoris de Claire et s'acharna avec une nouvelle intensité sur le gode enfouie dans la chair de son amie.
N'en pouvant plus, Claire repoussa Laure et retira le gode. Reprenant son souffle, elle sourit à ses amies.
Julie pendant tout ce temps n'était restée qu'une simple spectatrice et vu que ce n'était que le début de la soirée et du week-end, elle espèrait et désirait qu'une seule chose : passer à l'action.
A suivre...
Mar 25 mar 2008
2 commentaires
vive les week end http://www.lingerie-emotion.com
christy - le 26/03/2008 à 22h09
Très bien écrit. Histoire hyper bandante, vivement la suite!!!
Marc60 - le 24/05/2008 à 16h58