Mardi 25 mars
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Lorsque Beatrix recouvrit la vue, un tentacule se
précipitait sur elle. Elle ne put l'esquiver et l'appendice organique plongea dans sa bouche. Dans son champ de vision réduit par le tentacule qui perforait sa gorge, elle vit une créature d'une
irradiante beauté à la place de Joy. Les cheveux verts aux mèches blondes se dressaient légèrement sur la tête pour descendre le long de sa nuque et son dos. A la base de celui-ci, au-dessus de
fesses généreuses, se trouvait une queue se divisant en 10 tentacules. Toutes les tentacules avaient déjà investi l'intérieur des autres femelles Vihen.
Prenant sa source sur son pubis qui luisaient de reflets changeants, se dessinait un complexe ornement sur la peau maintenant propre de la Princesse. Cette parure magique formait un écrin flamboyant pour le corps admirable de Joy. Le léger relief et les lueurs changeantes de teintes vertes transcendaient tellement ce corps que tout ne semblait qu'illusion.
Pour beaucoup d'humains les Vihen étaient de véritables déesses. Mais la Princesse Joy avait dépassé ce stade pour devenir ce que les Vihen appelaient une Dryade. Beatrix vit Joy s'affaler dans les coussins de soie répandus sur le sol. Malgré le tentacule qui transperçait son visage, son attention restait focaliser sur la Princesse. Cette dernière, se laissait aller à cette vague de délice de l'orgasme princier. Plaisir que n'était jamais censé connaître Beatrix. Plusieurs fois Joy tenta de se caresser, mais le moindre contact devenait insupportable. D'elle-même, elle ne pouvait aller plus loin.
Beatrix observait cette scène, mais elle aurait normalement dû se laisser transporter par des vagues enivrantes de plaisir. La jeune étudiante ne ressentait en fait aucun plaisir. Toute jouissance était absorbée par la magie de Joy. Mais le fait qu'elle soit devenu un simple objet sexuel l'excitait intensément.
Alors que chaque coup de tentacule faisait gicler la lubrine de sa bouche, une salve d'albrine au goût sucré envahit soudainement sa bouche. Reportant alors son attention sur la Princesse-Dryade, la jeune étudiante croisa les yeux verts et brillants qui s'étaient braqués sur elle. Ce regard était sans équivoque. Joy voulait que Beatrix intervienne.
L'immense appendice sortit de la bouche de la Vihen novice, libérant avec lui un flot de liquide. Le mélange d'albrine et de lubrine se répandit sur le visage angélique de Beatrix. N'étant pas distraite par quelques plaisirs, Beatrix s'essuya les yeux et bondit vers Joy.
La Princesse était trop sensible pour agir d'elle-même et continuer à stimuler ses organes sexuels. Elle saisit alors sur la couche de Joy, différents jouets sexuels et les inséra sans ménagement dans les différentes ouvertures du corps de Joy. Tous ses orifices étaient ouverts et prêts à accepter toute offrance. Un hurlement silencieux déforma alors le visage de la Princesse.
Beatrix perforait la Dryade depuis déjà 10 minutes. Agitant rapidement un gode de cristal dans la bouche de sa victime, la jeune Vihen sentit alors un profond changement. L'orgasme Princier retomba enfin. Lorsqu'il eut complètement disparu, Joy reprit alors complètement ses esprits et dit à Beatrix qui était toujours en train d'actionner les différents accessoires :
" Tu peux maintenant t'arrêter, je ne ressens plus de plaisirs féminins. Exception faite des mes tentacules-pénis, je serai frigide pendant quelques heures. Il est temps que tu rejoignes le sort de tes camarades."
Ces paroles dites, un tentacule perfora le visage de Beatrix.
Ses tentacules-pénis lui procuraient un plaisir dont elle ne jouissait que trop rarement. Arrachant les jouets sexuels qui étaient restés dans son corps, la Princesse se remit debout et se concentra sur les différents plaisirs remontés par ses tentacules et par le fait de pénétrer ces femelles. L'albrine jaillissait constamment d'au moins un des tentacules, et Joy n'épargnait aucune parcelle de peau des autres Vihen. Les mages n'étaient à cet instant que des objets sexuels qu'elle malmenait et souillait. Les voir ainsi traitées, l'emplissait de satisfaction. A cela s'ajoutait le fait que Joy absorbait tout leur plaisir.
Ce plaisir salace prit fin au bout de 15 minutes. Les tentacules étaient épuisés et se rétractèrent pour bientôt disparaître complètement.
Joy n'avait laissé aucune once de plaisir à ses camarades. Les Vihen humiliées et souillées se remirent alors debout et firent face à la magnifique Princesse-Dryade. Son corps était si bien mis en valeur, que les 10 femmes étaient obnubilées par l'allure divine dégagée par la Princesse.
Prenant sa source sur son pubis qui luisaient de reflets changeants, se dessinait un complexe ornement sur la peau maintenant propre de la Princesse. Cette parure magique formait un écrin flamboyant pour le corps admirable de Joy. Le léger relief et les lueurs changeantes de teintes vertes transcendaient tellement ce corps que tout ne semblait qu'illusion.
Pour beaucoup d'humains les Vihen étaient de véritables déesses. Mais la Princesse Joy avait dépassé ce stade pour devenir ce que les Vihen appelaient une Dryade. Beatrix vit Joy s'affaler dans les coussins de soie répandus sur le sol. Malgré le tentacule qui transperçait son visage, son attention restait focaliser sur la Princesse. Cette dernière, se laissait aller à cette vague de délice de l'orgasme princier. Plaisir que n'était jamais censé connaître Beatrix. Plusieurs fois Joy tenta de se caresser, mais le moindre contact devenait insupportable. D'elle-même, elle ne pouvait aller plus loin.
Beatrix observait cette scène, mais elle aurait normalement dû se laisser transporter par des vagues enivrantes de plaisir. La jeune étudiante ne ressentait en fait aucun plaisir. Toute jouissance était absorbée par la magie de Joy. Mais le fait qu'elle soit devenu un simple objet sexuel l'excitait intensément.
Alors que chaque coup de tentacule faisait gicler la lubrine de sa bouche, une salve d'albrine au goût sucré envahit soudainement sa bouche. Reportant alors son attention sur la Princesse-Dryade, la jeune étudiante croisa les yeux verts et brillants qui s'étaient braqués sur elle. Ce regard était sans équivoque. Joy voulait que Beatrix intervienne.
L'immense appendice sortit de la bouche de la Vihen novice, libérant avec lui un flot de liquide. Le mélange d'albrine et de lubrine se répandit sur le visage angélique de Beatrix. N'étant pas distraite par quelques plaisirs, Beatrix s'essuya les yeux et bondit vers Joy.
La Princesse était trop sensible pour agir d'elle-même et continuer à stimuler ses organes sexuels. Elle saisit alors sur la couche de Joy, différents jouets sexuels et les inséra sans ménagement dans les différentes ouvertures du corps de Joy. Tous ses orifices étaient ouverts et prêts à accepter toute offrance. Un hurlement silencieux déforma alors le visage de la Princesse.
Beatrix perforait la Dryade depuis déjà 10 minutes. Agitant rapidement un gode de cristal dans la bouche de sa victime, la jeune Vihen sentit alors un profond changement. L'orgasme Princier retomba enfin. Lorsqu'il eut complètement disparu, Joy reprit alors complètement ses esprits et dit à Beatrix qui était toujours en train d'actionner les différents accessoires :
" Tu peux maintenant t'arrêter, je ne ressens plus de plaisirs féminins. Exception faite des mes tentacules-pénis, je serai frigide pendant quelques heures. Il est temps que tu rejoignes le sort de tes camarades."
Ces paroles dites, un tentacule perfora le visage de Beatrix.
Ses tentacules-pénis lui procuraient un plaisir dont elle ne jouissait que trop rarement. Arrachant les jouets sexuels qui étaient restés dans son corps, la Princesse se remit debout et se concentra sur les différents plaisirs remontés par ses tentacules et par le fait de pénétrer ces femelles. L'albrine jaillissait constamment d'au moins un des tentacules, et Joy n'épargnait aucune parcelle de peau des autres Vihen. Les mages n'étaient à cet instant que des objets sexuels qu'elle malmenait et souillait. Les voir ainsi traitées, l'emplissait de satisfaction. A cela s'ajoutait le fait que Joy absorbait tout leur plaisir.
Ce plaisir salace prit fin au bout de 15 minutes. Les tentacules étaient épuisés et se rétractèrent pour bientôt disparaître complètement.
Joy n'avait laissé aucune once de plaisir à ses camarades. Les Vihen humiliées et souillées se remirent alors debout et firent face à la magnifique Princesse-Dryade. Son corps était si bien mis en valeur, que les 10 femmes étaient obnubilées par l'allure divine dégagée par la Princesse.
Par Celine VI
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Publié dans : Récits érotiques - tentacle
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