Dimanche 25 mai 7 25 /05 /Mai 20:00


Dans ce blog vous trouverez les autres histoires érotiques que j'écris et quelques extraits de Vihen.
Bonne lecture et n'hésitez pas à me laisser des commentaires pour me motiver dans cette écriture...



A propos de VIHEN :

Vihen est une histoire érotique narrant une épopée spatiale, mélangeant science-fiction, fantasy, actions, complots, érotisme et pornographie.
Cette histoire est publiée pour les fans de scifi et de XXX.

Bien que la trame soit finalisée, ce récit est toujours en cours d'écriture et les chapitres sont publiés au fur et à mesure de leur écriture.

URL : http://www.vihen.fr.tc





 Bises à toutes et tous.

Céline VI

P.S : De nouvelles rubriques et video seront postés dans d'autres pages du blog

Par Celine VI
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Dimanche 25 mai 7 25 /05 /Mai 19:52
Fucking machines : Videos de 3 furies!!! La suite dans la rubrique Videos :


La totale pour Brianna Love et son magnifique fessier :



Video amateur de baise dans une cabine d'essayage vraiment sympathique :



Par Celine VI
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Mardi 25 mars 2 25 /03 /Mars 00:51
Julie venait de dire au revoir à son petit copain et elle partait rejoindre son groupe de copines en week-end.
Réunions, riche en activités, qu'organisaient régulièrement ses copines.
Il fallut près d'une heure à Julie pour arriver chez Claire, un loft immense et somptueux. Déjà ses deux autres amies étaitent arrivées.
Assise sur un canapé, discutaient Sophie et Laure, 2 amies de fac de Julie.
Sophie était d'une rare beauté, avec son teint mat et ses cheveux bruns. Quand à Laure, brune aussi, elle était plus rondelette, mais disposait d'atouts qui faisaient craquer tous les hommes.
Il manquait juste Cindy, qui serait absente ce week-end.
La soirée du vendredi soir, commença normalement par un petit apéro. Ensuite leur repas fut livré.
Après le dîner, vint le moment que toutes attendaient. Il était l'heure de lancer les dés.
La règle était simple. Chacune, lançait un dé et les filles qui avaient un chiffre pair, prendraient les décisions. Celles qui avaient un chiffre impair, devraient suivre les consignes des autres.
2, 4, 4, et 1, tels étaient respectivement les chiffres obtenus par Sophie, Claire, Laure et Julie.
Les trois amies de Julie la regardèrent, mais ne dirent aucun mot. Claire dit ensuite à l'attention de tout le monde :
"Bon, c'est fait. Continuons notre soirée"
La soirée recommença comme si de rien n'était, mais Julie, qui connaissait bien ce jeu, se demandait ce qui allait lui arriver.
Puis au bout d'une heure, Laure dit à Julie :
"Carresse-toi Julie."
Comme toutes ses amies, elle avait toujours respectée les règles de ce jeu. Aussi, elle se plia à la volonté de Laure.
Julie se redressa sur son fauteuil et fit glisser ses mains sur son corps, s'attardant sur sa poitrine généreuse, puis glissant sur son ventre. Prenant son temps, elle arriva enfin à ses cuisses. Sa main glissa alors naturellement sous sa jupe pour toucher son entrejambes. La sensation était plaisante, mais loin d'être exquise, car elle se sentait idiote. En effet, ses amies ne se préoccupaient pas d'elle. Elle continuaient leur discussion sans la regarder.
Quand ses caresses ralentirent, Sophie dit :
"Nous ne t'avons pas dit de t'arrêter Julie"
Puis Sophie retourna à sa conversation.
Julie continua alors ses caresses, mais cette fois-ci, elle était bien décidée à se donner du plaisir. Ayant remontée sa jupe, les doigts de Julie écartèrent doucement son string pour dévoiler son fruit défendu, puis commença à caresser son clitoris.
Se sentant humide, elle glissa un doigt dans son intimité.
Mais cela lui valut une autre réprimande de la part de Sophie :
"Julie, çà dépasse les caresses. Tu n'as droit à aucune pénétration. Maintenant installe-toi confortablement et profite du spectacle, mais par contre tu n'as plus le droit de te toucher."
Julie qui était déjà bien excitée, voulait continuer ses caresses et aller plus loin. Mais elle devait suivre les règles du jeu.
Et l'état d'excitation dans lequel se trouvait Julie ne risquait pas de redescendre avec le spectacle offert par ses 3 amies qui se touchaient,se carressaient et s'embrassaient.
Les langues se mêlaient maintenant sensuellement et langoureusement entre elles. Les vêtements disparurent petit à petit, offrant progressivement aux yeux de Julie, ces corps exquis. Les seins étaient malaxées par des mains expertes. Les langues venaient s'enfouir dans les nombrils, parcouraient les ventres, les poitrines, les tétons, les nuques... Il semblait qu'aucune partie des corps ne serait épargnée.
Julie sentait son string devenir de plus en plus humide. Cela devenait une véritable torture de résister à ses pulsions ,alors que son regard se perdait dans cet enchevêtrement de corps.
Déjà plus de 10 minutes, que les caresses et léchouilles fusaient. Les corps complètement nus dévoilaient maintenant leurs fentes humides. Des fesses s'écartaient pour laisser une langue faire son travail. Une paire de main venait appuyer une tête blonde entre des cuisses. Des doigts écartèrent une fente révélant la peau roseatre de ce sexe, puis s'insinuèrent dans cet orifice. Les jambes, seins, et l'ensemble des corps étaient caressés par cette multitude de mains.
A la vue de cette scène, s'ajoutaient les gémissements et les bruits de succion, rendant de plus en plus difficile la lutte de Julie pour s'empêcher de les rejoindre ou de se toucher.
Ses 3 copines se faisaient plaisir mais aucune ne s'occupait d'elle.
Claire dit soudainement, à la limite du cri sous l'excitation :
"Julie, va chercher des godes"
Julie s'exécuta espérant pouvoir prendre part à la suite. Elle savait très bien où se trouvaient les jouets de Claire, et revint avec une malette pleine de sex toys.
Elle tendit alors un gode en verre qui fut rapidement saisi par Laure et vint s'enfouir sans ménagement dans le sexe mouillé et dilaté de Claire. Sophie et Laure se consacrant à donner du plaisir à Claire. Sophie embrassait et caressait le haut du corps de son amie blonde pendant que Laure s'occupait de son entrejambes. Vaste travail que Laure accomplissait avec conviction en fourrageant le vagin avec le gode et en léchant le clitoris.
Julie reçut alors l'ordre de donner à Laure les boules anales.
Et après une longue insertion, où Julie avait été réquisitionnée afin de lubrifier de sa salive ce nouveau jouet et l'anus de Claire, les boules vinrent se réfugier dans cet orifice étroit.
La tête reposée sur les cuisses de Sophie qui lui carressait doucement les cheveux, Claire se tordait de plaisir. Les gémissements se firent plus intenses. Laure, n'ayant aucun doute sur l'éminence d'un orgasme, retira d'un coup sec les boules anales. Le visage de Claire fut soudainement déformée par une grimace lorsque son corps et son esprit furent envahis par ce déluge de plaisir. Claire s'abandonna totalement et ne retint pas ses cris de plaisir. Ce qui eut pour effet d'exciter Laure qui accéléra la masturbation du clitoris de Claire et s'acharna avec une nouvelle intensité sur le gode enfouie dans la chair de son amie.
N'en pouvant plus, Claire repoussa Laure et retira le gode. Reprenant son souffle, elle sourit à ses amies.
Julie pendant tout ce temps n'était restée qu'une simple spectatrice et vu que ce n'était que le début de la soirée et du week-end, elle espèrait et désirait qu'une seule chose : passer à l'action.

A suivre...
Par Celine VI - Publié dans : Récits érotiques hard
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Mardi 25 mars 2 25 /03 /Mars 00:50
Dans le bureau de Kayleigh, Chris Kathar était confortablement installé dans un fauteuil automorphe. Le bureau de Glass légèrement fumé qui lévitait à un mètre du sol était peu encombré et la transparence du Glass ne cachait rien de la co-directrice assise dans son fauteuil.
Alors que Kayleigh terminait une communication, Chris laissa aller ses yeux sur ce corps de déesse et s'émerveilla devant l'art et le savoir-faire vestimentaire des Divas.
Rien n'était montré mais tout était suggéré.
Chris n'avait pas à forcer pour deviner les formes généreuses derrière la magnifique robe de soie noire. Il observa ses hanches, puis descendit jusqu'à trouver la peau blanche au niveau des cuisses de la jeune femme. Sa peau tranchait alors avec le noir de sa robe. En suivant ses longues jambes, il vit un bracelet de cheville briller légèrement sur sa jambe droite. Sur l'autre jambe un bracelet de cuir ornait sa cheville. Puis Chris retrouva pour quelques centimètres la peau nette et lisse de la directrice pour enfin rencontrer une paire de chaussures dont le cuir et le tissu se perdaient en de nombreux méandres de virages, le tout enrichi de boucles de glass et de métal.
Chris remonta son regard et s'attarda sur ses seins. Il n'avait aucun mal à deviner la poitrine généreuse de Kayleigh mise en valeur par le tissu précieux. Ses yeux furent vite attirés par l'imposant collier qui ornait son cou. Les pierres incrustées dans les différents métaux précieux du bijou étaient resplendissantes. Mais le plus épatant venaient des détails qui agrémentaient la parure. Tout frisait la perfection.
Chris remonta légèrement et vit le visage d'ange de la directrice. Il se plongea dans les yeux verts de Kayleigh qui étaient abrités derrière des lunettes, accessoires de mode cachant de nombreuses fonctions hi-tech.
Puis la peau lisse et sans défaut de son visage fit place à sa chevelure. Derrière des mèches de différentes couleurs qui apparaissaient aléatoirement dans ses cheveux bruns, sa crinière était attachée par un tissu précieux qui changeait d'aspect et de formes régulièrement.
La vision offerte par le corps de la co-directrice de la Diva Corp pouvait être qualifié d'œuvre d'art. La moindre parcelle de son corps était étudiée et travaillée dans les moindres détails. Les vêtements, bijoux et accessoires s'assemblaient avec perfection. Les Divas étaient un délice pour tous les sens à commencer par la vue. L'imagination de l'homme d'affaire travaillait aussi. Il se demandait quelles autres parures et bijoux pouvaient se cacher sous sa robe en des endroits plus intimes.
Puis il se focalisa sur la bouche sensuelle qui remuait au son de sa voix qui était à la hauteur de la vue offerte par son corps. Cette voix était à la fois suave et empreinte de fermeté. Elle représentait parfaitement la bivalence que recherche inconsciemment tout homme chez une femme : la douceur d'un côté et l'initiative et l'énergie de l'autre.
La voix avait un timbre très agréable, elle était mélodieuse, pleine de vie et riche en intonations. Lorsque la co-directrice parlait, les mots s'enchaînaient avec grâce. Et chaque syllabe faisait remuer ses lèvres pulpeuses. Parfois Chris pouvait distinguer la langue de Kayleigh.
Sur quelques sonorités, cette langue s'enroulait à l'intérieur de sa bouche. Et les pensées de l'homme devinrent libidineuses. Cette langue pouvait certainement être une source intense de plaisir. Le souffle des " s " était sensuel et charnel, et déjà Chris imaginait la respiration chaude de Kayleigh près de son oreille. Il se représentait partir à la conquête de cette chose inaccessible qu'est le corps de Kayleigh. Il se figurait déjà se glisser dans son intimité et notamment s'approprier et soumettre cette bouche pour transformer cette douce voix en un chant de gémissements étouffés.
Perdus dans cette relation onirique, Chris n'avait pas remarqué que Kayleigh avait terminé sa communication. Il fut alors surpris d'entendre la co-directrice prononcé son prénom...

Par Celine VI - Publié dans : Récits érotiques soft
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Mardi 25 mars 2 25 /03 /Mars 00:48
Toutes étaient très excitées. Claire ne voulait plus s'arrêter, mais Sophie voulant que çà dure le plus longtemps possible dit :
"Julie, il est temps de nettoyer le gode".
Cette dernière savait ce qu'elle avait à faire, et sous les yeux de ses amies, elle prit alors le gode et le lécha complètement. Le goût de Claire inonda alors ses papilles.
Sophie avait le vice en elle et s'amusait de la situation de Julie. Et c'est sans aucun remord qu'elle ordonna ceci à Julie :
"Julie, je sais que tu as envie de te caresser, te masturber et de remplir ton sexe avec ces jouets."
"Evidemment" répondit sa victime.
"Alors puisque tu en as tant envie, décris-nous juste avec des mots, ce que tu aimerais te faire. Et sois convaincante, car plus ton histoire nous excitera, plus nous nous toucherons et aurons du plaisir. Quand on sera repu, tu pourras t'arrêter. Tu peux aussi prendre des poses, mais rien de plus. A toi, ma petite Julie."
Claire et Laure regardèrent Sophie avec surprise et un sourire vint embellir leur magnifique visage.
Julie fut abasourdie par la demande de Sophie. Malgré ce gage cruel, elle ne pouvait qu'admirer l'imagination sans limite de son amie. Amie, qui n'en avait certes guère le comportement. Mais ce jeu durait depuis déjà 2 ans, et toutes revenaient y jouer. Et Julie avait déjà été à la place de ses copines et ne s'était pas privée.
Julie s'installa dans le fauteuil, respira lentement et commença sa narration avec une voix faible et un peu tremblante :
"Assise, les jambes écartées sur ce fauteuil, je me caresse d'abord le corps avec mes deux mains. Ces dernières glissent délicatement sur ma peau, naviguant sur mes courbes, s'attardant sur mes seins rebondis, puis mon ventre et mes hanches. Je descends ensuite jusqu'à mes chevilles et mes 2 mains remontent alors sur la peau douce et soyeuse de ma jambe gauche. En arrivant sur ma cuisse légèrement charnue mais ferme, je serre mes mains comme pour masser et malaxer ma cuisse. Je ralentis ma montée pour effleurer la protubérance dessinées par les lèvres qui ornent mon entre-jambes.
Je ne fais juste qu'effleurer, mais je sens l'humidité qui envahit cette zone de mon intimité. Cette barrière de chair ne retient pas le flot de cyprine qui se précipite à l'entrée de ma fente.
Je redescends ensuite sur ma cheville droite et je refais la même opération sur ma jambe droite. En arrêtant toujours ma course à mon entre-jambes.
Mes mains remontent alors sur mon ventre, glissant ensuite sur les collines formées par ma poitrine. Mes caresses remontent jusqu'à mon cou, et ma nuque. J'en profite pour sucer mes doigts afin de les mouiller de ma salive..."
Pendant ce récit, les trois tortionnaires de Julie se touchaient, se caressaient, se masturbaient. et n'hésitait pas à se doigter devant leur victime.
Laure avait déjà pioché dans l'arsenal de jouets dont disposait leur hôte, et n'avait pas attendu pour allumer un vibro et le faire glisser sur son bouton d'amour.
Quand à Julie, elle restait parfaitement concentrée et continuait sa narration. Et sa voix était même beaucoup plus sûre et puissante, voire même suave. Elle prenait un certain plaisir à exciter ses amies, même si le désir de passer à l'acte devenait une incessante litanie qui envahissait son esprit.
Julie était toujours assise sur le fauteuil, mais s'était maintenant penchée en avant, mettant ainsi en valeur son opulente poitrine. Ses seins reposaient même sur ses cuisses.
Sa façon de narrer faisait son effet. Enfin pour Claire, il n'y avait aucun doute, cela fonctionnait.
Cette dernière était même étonnée par la facilité de locution de Julie. Claire, tout en se masturbant le clitoris, se laissait porter par la ravissante voix de Julie, mettant de côté les bruits de succion et de vibro engendrés par ses partenaires.
La voix de Julie avait un timbre très agréable, elle était maintenant mélodieuse, pleine de vie et riche en intonations. Chaque syllabe faisait remuer ses lèvres pulpeuses. Et ainsi concentrée sur sa bouche, Claire pouvait distinguer la langue de Julie remuer.
Sur quelques sonorités, cette langue s'enroulait à l'intérieur de sa bouche. Et les pensées libidineuses de Claire s'imaginaient cette langue comme une potentielle source de plaisir. Langue qui s'enroulerait alors autour du clitoris de la jeune femme blonde ou qui irait boire à sa source, la liqueur sécrétée par son sexe.
Le souffle des " s " était sensuel et charnel, et déjà Claire imaginait la respiration chaude de Julie près de son oreille. Après que son amie l'aurait mené au plaisir, Claire se représentait partir à la conquête du corps splendide et aux formes rebondies de Julie. Elle se figurait déjà caresser et enfouir ses doigts dans son intimité pour transformer cette douce voix en un chant de gémissements.
Julie continuait donc son récit depuis plusieurs minutes :
"... Je continue de masser les seins de ma main gauche, pendant que les doigts de ma main droite fourrent mon sexe chaud et mouillé. Puis je prends mon sein gauche à pleine main, le remonte au maximum. Puis je tire la langue et tente de le lécher. Je sens ma langue autour de mon téton dur et gonflé. Je continue de l'exciter entre l'index et mon pouce. Puis je fais couler un fil de salive sur mon sein comme pour le lubrifier, facilitant mes caresses.
Je fais de même avec mon autre sein. Je n'en peux plus, mon entre-jambes est devenu une véritable rivière. J'enfonce alors un vibro dans mon vagin, me stimulant en même temps de par sa forme mon clitoris. Le plaisir m'envahit, mon corps est entièrement dédié à mon plaisir.
Mon sexe étant maintenant garni. Je ressens le besoin de m'occuper de mon anus. Je ne veux laisser aucun orifice vide. Je veux être comblée dans tous les sens du terme. Je lèche alors mes doigts maintenant libres, puis je les présente au seuil de mon tunnel. Mon majeur tourne autour de cette entrée interdite. Puis mon majeur, comme possédé, tente de s'immiscer en moi. L'introduction est longue mais il n'y a aucune douleur. Mon majeur s'enfonce alors dans mon anus. Il exerce doucement quelques va et vient, puis ressort, pour rerentrer dedans. Il ressort une nouvelle fois et profite de son excursion dehors pour s'humidifier avec la mouille qui dégouline de mon sexe. Et mon majeur y retourne, mais cette fois il est accompagné. D'abord l'annulaire, puis peu de temps après, l'index.
Je suis inondée de plaisir, mon clitoris devient frénétique grâce aux vibrations. Mon sexe héberge avec joie ce vibro. Et mon anus est littéralement envahie par mes doigts. Le plaisir est plus intense et sans prévenir, mon corps se tend, et l'orgasme me remplit de plaisirs. L'excitation du vibro devient insupportable, surtout pour mon clitoris. Je veux l'enlever, mais je prends sur moi et le laisse. Car c'est mon premier orgasme et ce n'est que le début pour moi. L'état d'extase se prolonge, je crie de plaisir. Puis cela redescend, mais une vague de plaisir continue quand même. Je prends alors un gode en plastique, et le porte à ma bouche, le lèche et le suce comme une grosse queue afin de le mouiller de ma salive.
A ce moment-là, j'imagine qu'un pénis me remplit la bouche et que je lui procure du plaisir. Et même si çà ne m'apporterai pas un plaisir direct, je voudrais qu'il vienne. J'aimerai sentir ce sexe se gonfler, et être pris de spasmes et enfin sentir ses giclées au fond de ma gorge, sur mon palais et ma langue. Et là le voyant jouir et le combler en accueillant sa liqueur dans ma bouche, mon excitation se ferait plus grande et décuplerait le plaisir fourni par le vibro qui harcèle mon entrecuisses.
Mais je n'avalerai pas tout de suite la semence. Je la ferai ressortir de ma bouche tout en regardant mon amant. Le liquide blanc souillerait alors mes lèvres. J'aspirerai ensuite le sperme, m'amusant ainsi plusieurs fois. Puis la dernière fois, une partie du sperme ressortirait de ma bouche pour couler le long de mon menton, tandis que j'avalerai le reste de cette semence.
Et pendant que je m'imagine ce scénario, le gode humecté de ma salive oeuvre à l'orée de mon anus pour s'insinuer en moi. Je sens mon anus se dilater doucement et millimètres par millimètres et le jouet rentre au plus profond de moi. Une fois bien ancré dans ma chair, je le fais tourner, l'agite. Puis le ressort. J'iamgine mon petit trou être alors devenu une ouverture béante dans mon corps. Je fais alors couler de la salive sur ce jouet pour le lubrifier. Et complètement dégoulinant, il rentre cette fois-ci beaucoup plus facilement et je peux ainsi lui exercer des mouvements de va et vient.
Le second orgasme ne tarde pas à venir, par l'action des jouets dans mes entrailles et par mon esprit qui s'imagine combler et mener un homme à la jouissance..."
La narration dura encore quelques minutes, mais Claire, Laure et Sophie, portée par la voix de Julie avaient déjà eu plusieurs avalanches de plaisir.
Et ce fut Sophie qui arrêta Julie et la félicita.
Julie qui mouillait abondemment, sourit et pensait que ces félicitations allaient enfin la mener à une récompense qu'elle méritait.

A suivre...
Par Celine VI - Publié dans : Récits érotiques hard
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